On apprend à être manager d’une équipe, mais on n’apprend jamais vraiment à manager son manager (aussi appelé management ascendant). Pourtant, nous passons tous par le case du managé, et le collaborateur est “responsable à 50 % de la teneur de la relation avec son supérieur” d’après Hélène Jacob, auteure de C’est qui le chef ? Ou comment manager son boss.
Alors, comment mieux appréhender sa relation avec son manager pour éviter certaines situations désagréables ou problématiques ? Comment rendre la cohabitation manager / managé plus efficace et plus épanouissante ?
Pourquoi est-il important de manager son manager ?
Le manager est par définition un chef d’équipe qui porte un projet et une stratégie. Il est responsable de l’efficacité et de la productivité de ses collaborateurs, mais aussi de l’ambiance qui règne au sein du groupe. C’est cette responsabilité, et sans doute l’enjeu de hiérarchie, qui peut parfois amener le collaborateur à subir la relation avec son manager.
En effet, ce n’est pas évident de faire face à son manager, d’exprimer son désaccord à une personne plus haut placée, ou de réussir à dire non à son boss. C’est d’autant plus difficile si vous êtes victime d’un management toxique, que vous travaillez aux côtés d’un manager tyrannique ou d’un micro-manager qui contrôle chacun de vos gestes. Or, il est essentiel pour le collaborateur de prendre conscience de l’importance de son rôle, en tant que managé, afin d’éviter un quotidien pesant (non-dits, mauvais esprit, ambiance stressante) ou une situation critique, telle qu’un burn-out.
Pourquoi est-il important d’être proactif dans la relation que vous entretenez avec votre boss ?
- Cela vous donne un certain pouvoir, une assise, et un charisme, puisque vous devenez acteur de votre propre management. Il est important de comprendre que le management n’est pas unilatéral et naît de l'interaction entre vous et votre manager. Vous prenez alors votre part de responsabilité.
- Vous exercez votre esprit critique : vous prenez du recul pour savoir ce qui est juste ou non, ce qui vous convient ou non. Ainsi, vous prenez confiance et gagnez en légitimé.
- Vous insufflez un peu plus d’humanité dans les rapports professionnels en provoquant plus de discussions et de débats. Grâce à cette attitude proactive, vous avez la possibilité de faire évoluer les techniques de management de votre boss et améliorez très certainement votre bien-être et celui du reste de l’équipe.
En effet, ce n’est pas évident de faire face à son manager, d’exprimer son désaccord à une personne plus haut placée, ou de réussir à dire non à son boss. C’est d’autant plus difficile si vous êtes victime d’un management toxique, que vous travaillez aux côtés d’un manager tyrannique ou d’un micro-manager qui contrôle chacun de vos gestes. Or, il est essentiel pour le collaborateur de prendre conscience de l’importance de son rôle, en tant que managé, afin d’éviter un quotidien pesant (non-dits, mauvais esprit, ambiance stressante) ou une situation critique, telle qu’un burn-out.
Pourquoi est-il important d’être proactif dans la relation que vous entretenez avec votre boss ?
- Cela vous donne un certain pouvoir, une assise, et un charisme, puisque vous devenez acteur de votre propre management. Il est important de comprendre que le management n’est pas unilatéral et naît de l'interaction entre vous et votre manager. Vous prenez alors votre part de responsabilité.
- Vous exercez votre esprit critique : vous prenez du recul pour savoir ce qui est juste ou non, ce qui vous convient ou non. Ainsi, vous prenez confiance et gagnez en légitimé.
- Vous insufflez un peu plus d’humanité dans les rapports professionnels en provoquant plus de discussions et de débats. Grâce à cette attitude proactive, vous avez la possibilité de faire évoluer les techniques de management de votre boss et améliorez très certainement votre bien-être et celui du reste de l’équipe.
En effet, ce n’est pas évident de faire face à son manager, d’exprimer son désaccord à une personne plus haut placée, ou de réussir à dire non à son boss. C’est d’autant plus difficile si vous êtes victime d’un management toxique, que vous travaillez aux côtés d’un manager tyrannique ou d’un micro-manager qui contrôle chacun de vos gestes. Or, il est essentiel pour le collaborateur de prendre conscience de l’importance de son rôle, en tant que managé, afin d’éviter un quotidien pesant (non-dits, mauvais esprit, ambiance stressante) ou une situation critique, telle qu’un burn-out.
Pourquoi est-il important d’être proactif dans la relation que vous entretenez avec votre boss ?
- Cela vous donne un certain pouvoir, une assise, et un charisme, puisque vous devenez acteur de votre propre management. Il est important de comprendre que le management n’est pas unilatéral et naît de l'interaction entre vous et votre manager. Vous prenez alors votre part de responsabilité.
- Vous exercez votre esprit critique : vous prenez du recul pour savoir ce qui est juste ou non, ce qui vous convient ou non. Ainsi, vous prenez confiance et gagnez en légitimé.
- Vous insufflez un peu plus d’humanité dans les rapports professionnels en provoquant plus de discussions et de débats. Grâce à cette attitude proactive, vous avez la possibilité de faire évoluer les techniques de management de votre boss et améliorez très certainement votre bien-être et celui du reste de l’équipe.
En effet, ce n’est pas évident de faire face à son manager, d’exprimer son désaccord à une personne plus haut placée, ou de réussir à dire non à son boss. C’est d’autant plus difficile si vous êtes victime d’un management toxique, que vous travaillez aux côtés d’un manager tyrannique ou d’un micro-manager qui contrôle chacun de vos gestes. Or, il est essentiel pour le collaborateur de prendre conscience de l’importance de son rôle, en tant que managé, afin d’éviter un quotidien pesant (non-dits, mauvais esprit, ambiance stressante) ou une situation critique, telle qu’un burn-out.
Pourquoi est-il important d’être proactif dans la relation que vous entretenez avec votre boss ?
- Cela vous donne un certain pouvoir, une assise, et un charisme, puisque vous devenez acteur de votre propre management. Il est important de comprendre que le management n’est pas unilatéral et naît de l'interaction entre vous et votre manager. Vous prenez alors votre part de responsabilité.
- Vous exercez votre esprit critique : vous prenez du recul pour savoir ce qui est juste ou non, ce qui vous convient ou non. Ainsi, vous prenez confiance et gagnez en légitimé.
- Vous insufflez un peu plus d’humanité dans les rapports professionnels en provoquant plus de discussions et de débats. Grâce à cette attitude proactive, vous avez la possibilité de faire évoluer les techniques de management de votre boss et améliorez très certainement votre bien-être et celui du reste de l’équipe.
Conseils pratiques : comment manager son manager ?
L’idée n’est pas de prendre la fonction du manager, ni d’imposer une manière de faire, mais bien de mettre en place des rituels, des habitudes et des réflexes pour appréhender au mieux la relation manager/managé. La première étape est donc de prendre conscience que vous avez le pouvoir d’influencer la situation, tout en restant à votre place. Ensuite, prenez le temps d’analyser le contexte et la personnalité que vous avez en face de vous. Vous pourrez alors gérer votre manager en adaptant votre manière de réagir. Face à un manager qui aime tout contrôler, trouvez une manière de le rassurer. Face à un boss “meilleur copain”, sachez poser vos limites et clarifier la situation si elle vous met mal à l’aise. Face à un manager qui croit en un management participatif, fixez des moments d’échanges, donnez-lui du feedback régulièrement et spontanément. L’objectif est de cerner les modalités de communication de son manager et d’adapter son discours, pour fluidifier les rapports et anticiper les éventuelles sources de tensions.
Il est également important de guider votre manager dans votre mode de fonctionnement. Vous avez besoin de minimum 24 heures pour présenter de manière qualitative un dossier en réunion ? Faites-le savoir, cela évitera un stress inutile et les demandes de dernière minute. Vous avez besoin d’être un minimum coaché ? Proposez-lui de tester des méthodes de management (OKR ou SMART) qui vous motivent.
Enfin, apprenez à formuler vos feedbacks. Partagez vos intentions, vos doutes, vos craintes, vos déceptions, vos frustrations. Pour partager un feedback négatif, la méthode OSBD est très efficace. Mise en place par le docteur Marshall Rosenberg, cette méthode propose quatre phases pour réagir le plus pertinemment possible face à une situation un peu complexe.
Cette méthode consiste en quatre mots : Observation, Sentiment, Besoin, Demande (OSBD). Il s’agit premièrement de relater objectivement la situation, puis de partager vos sentiments, ensuite d'identifier votre besoin et enfin, de formuler votre demande. Par exemple : “Tout à l’heure, j’ai été coupé en pleine présentation face à toute notre équipe. Je me suis senti un peu humilié et frustré car je n’ai pas eu le temps d’aller au bout de mon argumentation. Je veillerai à être plus synthétique, mais pourrais-tu me laisser un peu plus de temps de parole la prochaine fois ? Es-tu d’accord ?”. Cette attitude prouve que vous voulez vous faire une place, que vous savez prendre du recul et reconnaître vos torts, que vous savez non seulement ce que vous voulez mais aussi les outils pour améliorer la situation. Cette méthode rejoint également le modèle Situation-Behavior-Impact, qui consiste à expliquer votre situation, la cause de votre comportement et l’impact que cela a pu avoir sur vous ou sur votre entourage.
N’oubliez pas également de formuler des feedbacks de manière positive. Le manager aussi a besoin de se sentir apprécié, d’être accompagné voire rassuré sur son travail et sa gestion de l’équipe. Pour ce faire, la formulation peut jouer un rôle très important pour que le massage soit bien reçu et faire de votre manager un allié. Les deux formules simples ci-dessous permettent dans la plupart des cas de faire passer le message de la bonne façon :
- La formule “je préfère” : “je préfère lorsque tu me donnes une deadline, sinon je suis perdu”
- La formule qui confirme : “je me sens plus à l’aise lorsque tu me valides ma présentation en one-to-one comme ce qu’on vient de faire”
Pour être certain de trouver des moments d’échanges, proposez vous-mêmes un rythme de rendez-vous en one-to-one qui vous convient. Avec la solution Popwork vous pouvez planifier et préparer intelligemment ces rendez-vous : cela vous donnera un cadre qui facilitera vos échanges et le partage de feedback dans les deux sens.